Comment garder le cap dans la tempête ?

Je n’ai pas attendu qu’il fasse beau pour enregistrer cette courte vidéo qui a été vue plus de 2000 fois en quelques jours sur les réseaux sociaux…

Quelques petits trucs qui m’ont permis de garder le cap, de rester qui je suis, et donc de nourrir mes besoins.
1- mon besoin de perspectives : au lieu de rêver loin, j’ai agit proche et cela m’a ouvert de nouveaux horizons. Par exemple, au lieu d’attendre le beau temps, j’enregistre ma vidéo sous la neige. Au lieu d’attendre de redefinir mon business plan à cause de la COVID, j’organise des rencontres entre mes clients…
2- mon besoin de relations: au lieu de passer mon temps à lancer des “meeting requests”, j’appelle mes amis et mes prospects
3- mon besoin de calme: je n’attends pas que mes ados se calment, je pratique une méditation d’une minute !

Vous aussi vous avez de très bonnes idées. C’est pour les partager que j’organise des retrospectives “accéléviseur”… je vous en reparle bientôt!-)

Devenir Agile en étant agile

Etre agile c’est avoir un comportement qui met en cohérence les principes, les outils et processus agiles pour obtenir des résultats en amélioration continue.
Devenir agile n’est plus une question mais une obligation pour vous et pour votre entreprise. Pourtant le temps manque, l’investissement fait défaut… Alors pourquoi ne pas considérer que l’agilité est déjà présente et qu’il ne reste qu’à la nourrir? Comment intégrer le facteur humain dans votre transformation? Pourquoi, Avec qui, Par quoi et Comment commencer?
Si vous vous posez ces questions, lisez notre livre blanc disponible sur demande… c’est cadeau !
Devenir agile en étant agile

Résister, Accepter, Oser : 3 étapes pour vivre dans un monde imprévisible.

« Ce qui tourmentent les hommes , ce n’est pas la réalité, mais les jugements qu’il porte sur elle» nous dit Epictète.
Pour moi, en tant que spécialiste de l’accompagnement du changement, passionné par le facteur humain et par le questionnement, cette phrase est tout à fait adaptée à ce que nous vivons à l’heure du COVID-19. Elle est au cœur du processus de résilience que je voudrais vous partager dans cet article pour vous aider et aider ceux qui vous entourent à mieux vivre cette période.

Frédéric Lenoir dans son livre « Vivre ! Dans un monde imprévisible » nous explique que la résilience est un phénomène psychologique qui permet à un individu affecté par un traumatisme, de :
1) Résister aux effets les plus graves pour assurer sa sécurité physique et/ou mentale
2) Accepter que certaines choses ne sont pas sous notre contrôle, prendre acte de l’événement traumatique,
3) Oser rebondir, sortir vers l’inconnu, se reconstruire et nourrir son besoin de croissance

Voici ci-dessous, comment je résume nos espaces de vie et le chemin d’expansion que nous pouvons suivre, même en cas de crise.
confort, croissance, panique et magie
Au centre, notre zone de confort, dans laquelle nous aimons nager, vivre tranquille avec nos certitudes. Notre homéostasie naturelle nous y ramène dès que nous sommes sous stress. Cela a été le cas au début du confinement : il fallait se protéger pour résister.
Cette zone est entourée d’une fine zone de peur que la plupart des coachs ou thérapeutes représentent très grande, probablement pour vous faire payer cher leurs services !-)
Vient ensuite la zone de croissance ou d’apprentissage que nous élargissons car nous sommes poussés par des besoins complémentaires à la sécurité : les besoins de reconnaissance et d’accomplissement. On ne peut grandir que si nous acceptons les limites de ce qui nous entoure. Un poussin doit casser sa coquille pour grandir. Un enfant a besoin de la protection et des limites mises en place par ses parents. A l’adolescence il voudra démontrer qu’il devient autonome et qu’il est devenu capable de dépasser ces limites et ses propres limites.
Autour de cette zone de croissance, il y a une nouvelle zone de peur panique ou de crise. Elle est plus épaisse et intense que la précédente zone de stress. Nous la dépassons rarement car nous négligeons l’apport de la langue chinoise dans laquelle, le mot crise est représenté par 2 idéogrammes : un représente le danger, l’autre l’opportunité. Par contre, à chaque fois que nous la dépassons, nous sentons que notre vie fait un saut en avant. Nous atteignons une zone magique où tout semble possible, où la plénitude est ressentie. Dans ces moments-là nous faisons partie d’un tout, nous nous sentons à la fois « Dieu » et « le vide », deux notions imbriquées, notamment chez les bouddhistes.
Si vous êtes intéressé par ce sujet, contactez moi !

Comment aimer plus son travail en 3 questions ?

Inspiré par le questionnement appréciatif, je vous propose une série de 3 questions pour apprécier un peu plus votre travail… jusqu’au paradis?
1- A combien évaluez-vous votre satisfaction au travail entre 0 et 10 ?
2- Comment se fait-il que vous soyez déjà à ce niveau de satisfaction ?
3- Quel petit pas pourriez-vous faire pour augmenter d’un point votre évaluation ? Amplifier ce que vous aimez, ou éliminer ce qui vous gêne?
j’espère que ces 3 questions vous permettront d’identifier en quoi votre travail est déjà un peu le paradis et comment faire pour amplifier ce positif !

Pour ou contre les modèles de personnalité ?

A Burano, en face de Venise, les maisons sont très colorées. Même en cas de brouillard vous retrouvez votre habitation ! Est-ce que dans l’entreprise, vous utilisez des outils pour vous y retrouver dans la multitude des personnalités qui vous entourent ? Si oui, lesquels ? Si non, pourquoi ?

Comment montrer sa reconnaissance à ses collègues ?

C’est Gary Chapman qui a expliqué comment bâtir des relations sociales saines et épanouies dans son best-seller “Les 5 langages de l’amour.” Connaître ces formes d’expression d’amour (toucher physique, paroles valorisantes, moments de qualité, cadeaux et services rendus) est en effet essentiel. Est-ce que cela ne serait pas applicable dans le monde du travail?

Comment trouver le juste équilibre intérieur pour passer à l’action ?

Difficile quand tout va mal de ne pas être en colère, en position de combat et pourtant… Est-ce que la recherche, comme en Aïkido, du gagnant-gagnant ne serait pas une approche à tester ?
Une fois distingué ce qui dépend de nous de ce qui n’en dépend pas, l’acceptation de ce qui EST ne pourrait-elle pas être le premier pas vers l’harmonie de notre monde intérieur ? “Prendre la décision consciente, d’aimer la vie tout entière avec ses hauts et ses bas, ses joies et ses peines” nous a été proposé par de nombreux philosophe comme Montaigne ou Nietzsche et aussi par le fondateur de l’Aïkido Morihei Ueshiba. Comme eux, nous pourrions ensuite utiliser cet amour comme point d’appui à l’action… Certains en ont fait une philosophie de vie, d’autres une religion… et vous ? Et en ce moment?